"                              Travail journalier avec la Flamme Violette"

"Travail journalier avec la Flamme Violette"


Travaillez avec la Flamme violette chaque jour et attendez-vous à ce que des miracles surviennent sur votre chemin. Méditation très puissante.


Au nom de ma divinité, au nom de la Source Divine, j'en appelle à l'action de la Flamme violette de transmutation, de compassion et de pardon dans mon champ aurique, pour nettoyer et purifier chaque pensée et sentiment de mon plexus solaire et de tous mes chakras. Je sollicite l'action du feu violet ; qu'il imprègne les cellules, atomes et électrons de mes quatre systèmes corporels dès maintenant et à chaque instant de ma vie, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours par semaine, afin de guérir les mémoires de mes champs énergétiques découlant de mes comportements passés et présents.


J'éprouve des sentiments aujourd'hui. Je les reconnais et les accepte. Je les accueille avec amour. Je demande à la Flamme violette de les bénir et de dissoudre toute énergie négative en les inondant d'amour dans toutes les circonstances sur ma route et de connaître la solution divine. Je demande que cette action se poursuive jusqu'à ce que la perfection soit rétablie.


Je demande aux énergies de la Flamme violette de guérir les conflits de mes corps physique, émotionnel et mental.

Je suis reconnaissant(e) et je demande que la flamme violette soutienne cette action pour le reste de la journée.

Que la lumière se manifeste dans mon corps énergétique avec toute sa puissance !



Visualisez cette Flamme violette et inspirez-la par chaque cellule de votre corps. Employez son souffle de manière consciente et soutenue pour la faire pénétrer dans votre aura. Demeurez dans la vibration d'amour. Seuls l'amour, la compassion et le pardon transforment positivement une situation négative.

Si vous vivez une anxiété dans la journée, appelez la flamme violette de nouveau.

Réf. : Telos, tome II, p.109 à115.

 

                              MANTRA DE PLÉNITUDE DE L'ARCHANGE MIKAEL

Plénitude divine
"Je Suis maintenant en possession de tout ce dont

j'ai besoin et de tout ce que je désire pour vivre dans le confort, le bien-vivre et la dignité, comme pour m'assister dans l'accomplissement de ma Mission divine et de mon Service humanitaire.

Je Suis établi à l'endroit parfait qui me permet de m'ouvrir à l'Esprit, d'alimenter mon mental des connaissances utiles, de combler mes besoins sensibles et sensoriels et Je Suis parfaitement ancré, à partir de cet endroit, dans l'Esprit et le Corps de Dieu.

Je Suis le Flot de l'Abondance, de la Prospérité et de la Plénitude qui coule à travers moi en douceur, mais à plein régime, qui me permet de recueillir, dans mes mains bénies, toutes les énergies, tout l'argent, tous les instruments et tous les moyens dont j'ai besoin.

Et je laisse couler ce Flot dans le Monde pour être constamment rempli par les retours au centuple.

Je Suis comblé dans tous mes désirs, tous mes besoins, tous mes souhaits, avant même que j'en prenne conscience.

Je Suis parfaitement synchronisé sur le Vouloir du Plan divin pour prendre les décisions justes et passer à l'action conforme.

Je Suis toujours à l'écoute de mon Esprit, je capte toujours ses messages intuitifs de façon claire et précise et je suis toujours sa Direction dans toutes mes entreprises quotidiennes.

Ainsi, Je Suis toujours illuminé pour prendre les décisions correctes, pour obtenir les réponses à mes questions et les solutions à mes problèmes, d'où je pose toujours les actes et les gestes qui servent le plus grand bien de tous.

Je chéris la Terre-Mère et je la traite avec soin et égards, d'où elle me chérit et me supporte en tout, elle aussi, en retour.

Je Suis un Rayonnement d'Amour et de bénédictions ambulant, pour moi-même et pour tous, ce qui me revient au centuple.

J'ai toujours dix fois plus que ce dont j'ai besoin à tous égards. Ainsi, mon Univers est toujours rempli d'amour, de sérénité, de paix, de beauté, de joie, de confort, de bien-être, de santé, de succès, de protection, de liberté, de maîtrise, autant pour moi que pour tous mes êtres chers et pour mes chers collaborateurs.

Je Suis Ce Que Je Suis,

Je Suis Celui Qui Suis, et il en est ainsi, AMEN !

AUM TAT SAT, AUM TAT SAT, AUM TAT SAT !"

1. Je lâche prise sur mes attentes en lien avec mon évolution spirituelle et mes progrès. Je choisis de vivre le moment présent et de concentrer mes efforts pour réaliser mon plan divin, pour équilibrer mon esprit, pour harmoniser mon corps et pour purifier mes émotions avec mon Moi Christique.

 

 

2. Je redonne tout ce qui appartient à mes ancêtres, à ma mère, à mon père, à mes enfants, à mon mari (ou ma femme), à mon ex-mari (ou mon ex-femme) et aux personnes avec qui j’ai eu des relations interpersonnelles pour entrer dans la réalité de la 5ème dimension.

 

 

3. Je lâche prise sur toutes croyances non en harmonie avec ma valeur personnelle et sur mes perceptions de l’Amour, de la joie, de la paix, de la sécurité, de l’équilibre, de l’harmonie, de la sagesse, du discernement, de l’abondance, de la créativité, de la vitalité, de la longévité, de la santé, de la vieillesse et de la mort.

 

 

4. Je lâche prise sur le besoin de vouloir sauver le monde ou toute autre personne s’y trouvant. Je réalise ma mission, j’accepte de maîtriser mes comportements et de vivre comme un exemple vivant et aimant pour tous sans attente.

 

 

5. Je me libère de tout conditionnement et de toutes mémoires cellulaires en lien avec ma forme corporelle. Je réclame mon droit divin à la beauté, à la vitalité et à la santé sachant qu’ils sont mon état naturel. Je reçois les encouragements de mon Moi Christique pour manifester cette perfection.

 

 

6. Je lâche prise sur mes attentes en lien avec ma créativité et mon travail. Je travaille et je crée pour le plaisir. Je sais que l’abondance et les ressources viennent de la Source Divine, de la confiance en moi et de mes efforts.

 

 

7. Je lâche prise sur tout élément de la 3ème dimension créé par les structures gouvernementales ou par tous autres organismes mondiaux. Je prends conscience de l’origine divine de mon abondance et de ma sécurité. Je suis totalement capable de manifester le bien-être, d’être indépendant, de prendre mes responsabilités et de contrôler ma propre destinée.

 

 

8. Je me libère de tout karma et des énergies non en harmonie dans tout mon être. Je résous toutes les anciennes programmations non adéquates avec grâce et aisance pour étendre la Lumière divine. Je deviens un co-créateur du Paradis sur Terre.

 

 

9. Je me libère de toutes croyances à propos de ma capacité à attirer la connaissance, la sagesse et des informations pertinentes en provenance de la Source Divine et des dimensions suprêmes. J’attire ainsi de nouvelles connaissances, des nouveaux concepts et la sagesse pour apprendre, pour grandir et pour servir d’exemple vivant.

 

 

10. Je lâche prise sur tout jugement, sur toute idée crée par mon imagination et sur toute attente des autres, tout en conscientisant leurs droits, leur place et en respectant leur évolution en constant perfectionnement. Je leur donne l’Amour et les encouragements. Je leur enseigne mes connaissances en les laissant libre et en leur rappelant que leur vérité est inscrite en eux.

Les dix décrets de l'Archange Michael

 

MARIE QUI DÉFAIT LES NŒUDS
http://vimeo.com/18079626

NEUVAINE A MARIE QUI DÉFAIT LES NŒUDS

Marie, toi qui défait les nœuds

Mère du bel Amour,
Mère qui n’a jamais abandonné un enfant qui crie au secours,
Mère dont les mains travaillent sans cesse
Pour ses enfants bien aimés,
Car elles sont poussées par l’Amour divin
Et l’infinie Miséricorde qui déborde de ton cœur,
Tourne ton regard plein de compassion vers moi.

Vois le paquet de « nœuds » qui étouffent ma vie.
Tu connais mon désespoir et ma douleur.
Tu sais combien ces nœuds me paralysent.

Marie, Mère que Dieu a chargée de défaire
Les « nœuds » de la vie de tes enfants,
Je dépose le ruban de ma vie dans tes mains.
Personne, pas même le Malin, ne peut le soustraire
A ton aide miséricordieuse.
Dans tes mains, il n’y a pas un seul nœud
Qui ne puisse être défait.

Mère toute puissante, par ta grâce et par ton pouvoir d’intercession
Auprès de ton Fils Jésus, mon Libérateur,
Reçois aujourd’hui ce "nœud " (le nommer).

Pour la gloire de Dieu, je te demande de le défaire,
Et de le défaire pour toujours.
J’espère en Toi.
Tu es l’unique Consolatrice que Dieu m’a donnée,
Tu es la forteresse de mes forces fragiles,
La richesse de mes misères,
La délivrance de tout ce qui m’empêche d’être avec le Christ.

Accueille mon appel.
Garde-moi, guide-moi, protège-moi.
Tu es mon refuge assuré.
Marie, Toi qui défais les "nœuds", prie pour moi.
Amen"

 

HEAVEN #2586

L'Amour du Christ était celui de Dieu Dieu a dit:

Le Christ était harmonieux, et pourtant il était ferme dans ce qu'il savait.

Il n'était pas chancelant. Il s'aventurait tout droit. Sa mission donnée par Dieu était d'amener les autres plus près de Moi. Il ne voulait rien pour lui-même à part donner le cadeau de l'amour qui lui avait été donné et qu'il accepta de tout cœur. Un cœur plein d'amour peut seulement se répandre en amour, et alors l'amour est multiplié. Le Christ répandait tant d'amour que son amour résonne encore autour du monde. L'amour qu'il a donné en Mon nom incite encore les cœurs à battre à hauteur de l'amour. Boum, boum, boum-ti-boum, le battement de l'amour. Il a donné le seul cadeau qu'il y ait à donner. Il n'est pas allé faire les magasins et faire les paquets-cadeau. Il n'était pas le Père Noël. Le Père Noël sers un but différent du Christ. Le don physique des cadeaux est aussi respectable, cependant le Christ ne donnait pas de cadeaux physiques. Il donnait de l'amour. C'était tout ce qu'il avait à donner, et il le donnait bien. Il donnait de l'amour sans rubans. Il donnait simplement de l'amour. Il le rayonnait. Il ne pensait pas à donner de l'amour. Ca lui aurait été impossible de ne pas donner de l'amour. Cela aurait été une privation. Le Christ était le fruit de la vigne. Une grappe, pleine de jus, est prête à être cueillie, et le jus se transforme en vin. Et donc le Christ donnait aussi innocemment qu'une grappe. Ceux qui connaissaient leur soif ont bu à pleines gorgées Mon amour à travers le Christ. Ils ne pouvaient pas boire assez. Ils en voulaient plus. Ils boivent encore. Le Christ ne donnait pas d'amour par sens du devoir. Il ne sentait pas que l'amour qu'il avait à donner était un dû. Il ne pensait pas en termes de dette ou de débiteur. Il donnait aussi librement que le soleil brille Ma lumière. Le Christ était un brillant soleil sur Terre, et il a brillé. Comme il a brillé. Il ne pouvait pas faire autrement. Il devait donner la lumière, et donner il le fit. Il était impuissant dans le sens où il ne pouvait s'empêcher de donner. Il était un chanteur de l'amour qui devait chanter. Il ne pouvait s'empêcher de laisser jaillir le chant. Il était un poisson qui devait nager. Un poisson ne pense pas, "Oh, je dois nager aujourd'hui." Il est naturel pour un poisson de nager. Et donc le Christ nageait dans l'amour. Il ne voyageait pas à travers le monde, mais son amour le faisait, et son amour voyage toujours. Une fois en mouvement, l'amour reste en mouvement. Tout comme on ne donne pas au soleil l'instruction de briller tous les jours, ainsi l'amour continue-t-il ses révolutions sans plus de cérémonie. Le Christ donnait, pourtant il n'a jamais pensé, "Je donne." Il ne s'est jamais levé le matin en pensant, "Oh, je dois donner aujourd'hui." Le fait de donner n'était pas une pensée. Donner était son Etre. Et pourant le Christ n'avait aucune pensée qui n'était pas en rapport avec le fait de donner de l'amour. Et donc il avait de la sagesse aussi bien que de l'amour, et en fin de compte il n'y avait aucune différence entre l'amour et la sagesse qu'il donnait. Son amour et sa sagesse étaient des grappes issues de la même vigne que j'ai planté et donné à tous Mes fils. Pensez-vous que vous ne provenez pas de la même vigne que le Christ ? Pensez-vous être un imposteur sur le trône où je vous assois ? Pensez-vous qu'on vous a donné une dispense spéciale pour refuser d'accepter Mon amour ou, une fois accepté, vous retenir de le partager ? Bien-aimés, personne n'est plus spécial pour Moi que vous l'êtes, pas plus qu'il n'y a qui que ce soit de moins spécial que vous. Il n'y a pas de premier et il n'y a pas de dernier. Puissiez-vous faire de chaque jour Noël pour tous Mes bien-aimés fils et filles. Acceptez Mes cadeaux, et, dans le même mouvement, transmettez-les. Traduit par: Cédric www.heavenletters.org.

Message DU CHRIST 

18 FÉVRIER 2015

Et voilà que je viens, aimés de l’Un et enfants de l’Amour.

Je viendrai comme un voleur de la nuit, en votre Temple. L’annonce de ma venue en votre Temple, et mon installation pour votre Éternité, en ce que vous êtes, a été préparée par de multiples éléments, par de multiples choses.

Aimez-vous comme je vous ai aimés et comme je vous aime, aimer sans détour, sans limite, sans raison est la plus belle des lumières possibles en ce monde qui n’est pas votre monde et pourtant que vous foulez de vos pas. Et je viens pour chacun de vous vous demander votre amitié et notre Amour.

Tout est prêt, tout est achevé et enfin tout commence. Je viendrai au moment opportun, non seulement en vous, mes amis, mais aussi devant chaque frère et chaque sœur, quelles que soient ses errances, quel que soit son refus, proposer la même amitié, celle de la Vérité, celle de l’abondance, celle de la Transparence. Je ne vous demande rien, je viens simplement espérer, comme vous avez vous-mêmes espérés en ce jour.

Le temps de l’attente n’est pas un temps vain, il est le temps qui vous a été octroyé pour mener à bien notre amitié et notre Amour. Aussi, par la Grâce des Archanges, par la Grâce des Anciens, par la Grâce des Étoiles et de ma Mère, par la Grâce de l’ensemble de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres, la route est ouverte. Les voiles sont dissous, mettant à nu l’Essence de l’Amour que vous êtes.

Alors oui, je viendrai en chacun me présenter, me nommer, et si vous l’acceptez, plus rien ne tiendra devant notre présence unie, dans la vérité de l’Amour Un. Aucune faille ni aucune ombre ne peut, si vous le souhaitez, résister à notre amitié. Il n’y a rien d’autre à préparer dorénavant que ma venue, il n’y a rien d’autre à espérer puisque tout est déjà là, en ces temps où tout se révèle, comme je l’avais dévoilé à mon tour au bien aimé Jean, celui qui le premier a pu percevoir la totalité de mon Retour, la totalité de la Vérité et l’action du Supramental, de l’Intelligence de la Lumière en ce monde, vous redonnant le fil conducteur de votre Éternité.

Et voilà donc que je viens, avec l’épée acérée, afin de vous restituer à ce que vous souhaitez, afin de vous restituer à ce que vous vibrez, en accord avec l’Esprit ou en accord avec l’âme, selon l’intensité de notre amitié et de notre Amour. Je viens sceller et délier dans le même temps la Promesse et le Serment et aussi libérer la chair, votre chair, afin que l’Action de Grâce soit votre quotidien au sein de l’Éternité où nulle nuit ne peut se poser, où nul obstacle ne peut se dresser.

Vous, qui que vous soyez, quoi que vous manifestiez, quoi que vous espériez ou redoutiez, mon amitié et mon Amour est le même. Une Mère aime chacun des enfants et son Fils aime tous ses frères et sœurs de la même façon, avec la même intensité, sans notion de rétribution, sans notion de récompense et encore moins de punition car c’est vous-même qui vous jugerez à l’aune de notre amitié, au poids de votre densité de l’Éternité, au moment où je m’installerai. En vous, en chacun de vous se jouera notre Rencontre, faisant de vous les Fils Ardents du Soleil, les Fils de la Lumière, étendards de la Lumière, baignant et rayonnant de la Vie Une, de l’Amour Un. Nous danserons ensemble la Danse de l’Éternité.

Et voilà que je viens déjà en chacun de vous, personnellement, avant de venir pour l’ensemble de vous, en votre totalité, en votre humanité Une, en votre humanité qui a déjà choisi d’autres chemins que mon amitié et pour lequel la même Grâce sera accordée. Chacun choisira, je dirais, en sa conscience ou en son âme et conscience, ou dans son refus même, chacun éprouvera la résonance de l’Amour qu’il a donné, de l’Amour qu’il s’est donné et de l’Amour qu’il a reçu, témoignant ainsi de vous-même et de moi en notre Éternité Une.

Fils Ardents du Soleil, brûle en vous l’Éternité. Je viens amplifier le Cœur Ascensionnel et démarrer votre Résurrection avec vous, en prière et en Grâce. Ma Mère vient vous le dire, vous l’énoncer clairement, vous le susurrer en votre âme ou en votre conscience, imprimant dans cette chair le Feu de l’Amour, le Feu de l’Esprit et le Feu de la Vérité. Pensez à moi comme je pense à vous, bien loin du cadre historique, encore plus loin de tout cadre religieux. Je viens chanter en vous le Chant de la Liberté, le Chant des ateliers de la Création, je viens assister à votre Résurrection, au sein de la Joie perpétuelle.

Je ne vous demande rien d’autre que d’être présent, que de faire face et de me laisser enfin la place qui est celle de votre Éternité, qui est celle de notre Amour. Je viens juste vous demander de répondre à ce qui est, ou à ce qui n’est pas encore. Je viens vous dire en ce jour, n’ayez pas peur, mettez l’Amour au centre, mettez l’Amour en avant, mettez l’Amour en arrière, mettez l’Amour à gauche, l’Amour à droite car c’est ce que vous êtes. Seuls les voiles vous ont occulté cette vérité essentielle sans laquelle même vous ne pourriez poser vos pieds sur ce monde. Malgré les illusions, malgré les mensonges, vous êtes là, en vie et en Vérité.

Je viens vous montrer votre Voie, votre Vérité et votre Vie. Je ne vous demanderai rien d’autre que de partager votre amitié avec moi et avec tous ceux d’entre vous qui se reconnaîtrons, par le cœur et par l’Esprit, éclairant avec vos Lampes éveillées ce qui doit l’être, ce qui doit se dissoudre dans la Loi de la Grâce. Je viens vous donner la bénédiction du Père. Je viens vous restituer à vous-même. Nulle connaissance, nulle demande n’a besoin d’être formulée car ce que je vois, et ce que je verrai, c’est simplement la manière dont vous avez aimé. Aucune histoire en ce monde n’a de valeur face à l’Éternité, aucun rôle, aucune fonction n’est plus élevée qu’une autre. Ceux qui voudront s’élever sans passer par notre amitié seront rabaissés, ceux que je trouverai dans la Transparence, dans l’espoir le plus noble et dans la Transparence et la sincérité n’auront aucun élément de peur parce que l’Amour vous comblera. Ainsi est mon amitié, ainsi est notre fraternité qui dépasse toutes les conditions et toutes les circonstances en votre monde.

Je viens vous le demander : « Voulez-vous être mon ami, voulez-vous être le fils digne du Soleil et du Père, voulez-vous être les dignes enfants de notre Mère commune, en lâchant toutes les zones d’ombre et toutes les peurs qui peuvent se manifester en vous ? ». Vous vous raccrochez au roc éternel de notre filiation commune, celle qui n’a aucun rôle ni aucune place au sein de la division parce que votre unique place est celle de votre Liberté et de votre Vérité, quelle qu’elle soit. Il y a juste à accepter et nul ne pourra se soustraire à sa propre pesée par soi-même. De la manière dont vous avez aimé, non pas seulement en cet instant ou en cette vie, mais dans la résultante de l’ensemble de vos pas portés en ce monde depuis fort longtemps, se dévoile à vous dans sa nudité, dans sa simplicité et dans sa beauté.

Je viens danser avec vous dans le Silence de l’Éternité. L’espoir, la foi et même la croyance que vous avez construite en mon Retour en vous, se révèlera Vérité absolue. Même ceux d’entre vous qui n’ont pas pu ou voulu aimer comme je vous ai aimés, du fait des souffrances, du fait des voiles ou du fait de circonstances particulières, n’ont non plus rien à redouter de notre rencontre parce qu’à ce moment-là aussi nous pourrons, quel que soit votre état, et si vous l’acceptez, bâtir ensemble instantanément le pont de la Grâce vers votre Éternité car je suis la Voie, la Vérité et la Vie.

Je viendrai aussi par là même vous demander, si ce n’est déjà fait, de laisser mourir ce qui ne veut pas de l’Amour, en vous comme en chacun, respectant la liberté et le choix du périple de l’âme ou de la nudité de la conscience. Enfants de l’Un, enfants nés de par l’Amour et de l’Amour, je viens vous nommer et vous appeler à être inscrits dans le Livre de Vie Éternelle qui ne connaît ni début ni fin, où là toute vie vous est offerte dans la plus grande des compassions et dans la plus grande des libertés possibles et imaginables.

En votre Temple, comme en chaque facette de votre conscience, vous y trouverez ma Présence et ma radiance. Je suis le consolateur, je suis celui qui tranche ce qui doit être tranché, en liberté et en accord avec vos choix et la résonance plus ou moins grande de votre vérité avec la Vérité de Amour. Les signes de mon Retour, de manière visible en ce monde et non pas seulement en votre Temple, seront évidents pour chacun de vous, devant la réalisation des innombrables signes et visions transmises au bien aimé Jean. En ces temps si intenses, il ne vous reste plus qu’à déposer toutes les armes de la peur, déposer toutes vos peines à mes pieds afin que mon Cœur les absorbe.

Je suis la consolation, je suis l’espoir et je suis surtout ce que vous êtes en Éternité, le Fils Ardent du Soleil, dont la Paix et la Joie ne connaissent aucun répit ni aucune sédation. Je suis le Temple de la Liberté, le Temple de la justice, le Temple de l’équité, le Temple de la Vérité et mon Temple est votre Temple, et mon Cœur est votre cœur.

Que pouvez-vous redouter, vous dont même les peurs ne représentent, en définitive, que le sentiment du manque d’Amour envers vous-même ou envers la Source, envers vos frères et sœurs et envers les blessures de la vie ? Je viens ôter toute souffrance à condition que vous acceptiez de me les remettre, afin que je vous les remette. Je n’ai besoin que d’un signe de votre cœur, je n’ai besoin que de votre attention et je viens répondre à l’ensemble de vos besoins.

La Lumière de la Vérité, la Lumière qui dévoile, frappe non seulement à la porte de votre Temple mais a déjà, voilà quelques jours, ouvert ce qu’il restait à ouvrir pour vivre la dernière Pâques, celle de votre Résurrection en même temps que ma Résurrection. Ne m’attendez pas dans la chair car sinon vous serez trompé, mais votre cœur ne peut vous tromper, seul l’intellect peut tromper. Nous nous reconnaissons et nous nous reconnaîtrons à l’Amour qui brille devant nous, en notre cœur et sur notre front car vous aussi, si vous le souhaitez, vous êtes l’oint du seigneur, celui dont l’onction a mis le baume de la guérison, le baume de la Joie.

Quand je vous demande si vous voulez être mon Ami, je ne vous demande rien d’autre que de quitter les illusions, que de quitter les croyances, que de quitter ce qui est faux, sans compromis et dans l’humilité. Les temps sont accomplis, cela vous le savez, et ce qui s’accomplit maintenant n’est que justice et Liberté. De notre rencontre découlera votre place. Aucune place n’est meilleure qu’une autre, aucune n’est plus élevée qu’une autre, il y a juste Amour ou non-amour et le non-amour n’est rien, il est juste, je dirais, une forme de masquage dont la traduction est la peur mais qui n’a aucun sens au sein de l’Éternité. Je vous rappelle que vous ne pourrez emporter, d’une manière générale, ni vos peurs, ni vos biens, ni aucun acquis au sein de ce monde car je vous veux nu, car je vous veux tel que vous êtes en vérité et non pas tel que vous montrez à ce monde ce qu’il attend de vous.

Je suis votre vraie Famille, celle où il n’y a ni chantage ni souffrance, ni conditionnement, ni violence, car je viens trancher et je viens en paix, comment pourrait-il en être autrement ? Les temps de la peur sont révolus, la Grâce vous remplit de manière naturelle de tous les attributs de l’Amour, de toute la Vérité de l’Amour. Vous n’avez rien d’autre à projeter, vous n’avez rien d’autre à attendre car cela est maintenant. Tout ce qui sera observé à la surface de ce monde, comme en toute conscience, n’est que la révélation de l’Amour. Seule votre forme illusoire peut y voir autre chose, seule l’adhésion à vous-même, de manière incongrue, peut vous priver de notre amitié. Il faut pour cela que tu déposes tous tes fardeaux, il faut pour cela que chacun de vous accueille, à bras ouverts, la Vérité de notre Père et de notre Mère, place où se situe l’ardence de l’Esprit, l’ardente soif de vos retrouvailles avec vous-même.

Ma présence se fera de plus en plus sensible, au même titre de ceux qui vous ont accompagnés et dont la ronde s’établit dorénavant en intégralité en votre cœur, et nulle part ailleurs, vous donnant même à dissoudre tout ce qui n’est pas l’expression et la manifestation directe de l’Amour pur, de l’Amour inconditionnel et de l’Amour-vérité. Il est impossible, à ce niveau-là, d’être trompé ou de se tromper parce que votre espérance en ma Présence a mis fin aux velléités de dualité imposées par ce monde et par votre éphémère.

En ces moments particuliers, et lors du moment de l’Appel, vous comprendrez et vivrez par vous-même la Vérité de l’Amour et la vérité de ce qui n’est pas amour, lors de notre rencontre et de notre amitié. Rappelez-vous que la principale manifestation de l’Amour est la Joie, l’Amour se suffit à lui-même, notre amitié se suffit à elle-même, elle est la totalité, elle est aussi chaque particularité en ce monde aussi, et je dirais malgré tout. Votre état actuel, votre état en cours d’installation, ne fait que vous montrer la distance ou la proximité qui existe entre vous et moi. En cette absence de distance il y aura concordance, il y aura extase et il y aura ravissement dans les Demeures de l’Éternel, dans les Demeures de vos origines, en de multiples espaces où ne peut exister d’ombre ni de souffrance ni de résistance.

Je viens non pas vous demander de me suivre, je viens vous demander d’être ce que vous êtes, en transcendant ou en oubliant tout ce qui fait souffrance, tout ce qui fait peur, tout ce qui peut obstruer ou gêner notre amitié. Notre amitié est une assurance sur la Vérité. Je ne viens pas donc vous demander de me suivre mais d’être ce que vous êtes et de parcourir les sphères de l’Éternité, si tel est votre état, si telle est votre conscience. Chaque place, chaque conscience est respectable, qu’elle réponde favorablement ou défavorablement à notre amitié. La Joie d’une telle intensité viendra mettre fin immédiatement, au cas où nous scellons notre amitié, à toute souffrance, à toute peur et vous comblera de la Grâce éternelle de l’Amour et de la Joie, sans justification, sans raison, sans explications, transcendant les manifestations et obstacles de l’éphémère, faisant brûler et dissoudre tout ce qui n’a plus de raison d’être au sein de notre amitié et de notre Liberté.

Alors, aimés de l’Un, je vous veux debout et entiers, avec autant d’intensité qu’il peut exister dans le cœur de notre amitié. Quel que soit votre état de ce corps, quel que soit votre état de souffrance résiduelle ou de peur, je serai la guérison et la disparition de tout ce qui peut gêner ou ralentir notre Vérité Une.

En chacun de vous est la même flamme et la même intensité et la même soif. Je viens vous demander si vous voulez vivre au sein de l’Éternité, là où l’eau de Vie ne peut manquer, là où vous êtes rassasié à chaque instant de votre conscience, là où la Plénitude ne peut laisser aucune déficience dans la perfection de la conscience Une et libérée. Je viens vous donner à vous-même, parce que je suis Don, à hauteur de ce que vous avez donné et distribué, non pas par intérêt mais par spontanéité et par vérité, sans autre implication que le Don de vous-même à votre propre Éternité. Je me tiendrai au carrefour de vos choix, les éclairant avec la même intensité et la même compréhension qui n’a que faire de votre histoire personnelle, qui n’a que faire de ce qu’il peut rester, résistant à vous-même. Ce que je suis et ce que vous êtes résonne en la Grâce, résonne en la Liberté. Ce qui n’est pas Amour n’a pas de place au sein de Amour, ce qui est Amour sera rendu à l’Amour.

Aimés de l’Amour permettez-moi, en l’espace de notre silence, de me rapprocher de notre amitié et pour certains d’entre vous, en lisant mes mots ou en les écoutant, alors la complétude se présentera dans l’instant ou dans les instants à venir. Cela vous est ouvert dès aujourd’hui.

Ainsi, je fais silence de mes mots afin de dissoudre vos mots, ainsi.

… Silence…

Ainsi je peux dire comme mon Père et notre Père l’a dit, la Source : « Mon Ami, mon Aimé, veux-tu l’être ? Mon Ami, mon Aimé, veux-tu le vivre ou préfères-tu taire le choix de ta personne et de ton éphémère ? » Car il te faut choisir, il te faut décider, là est l’ultime Grâce de l’Appel de ma Mère et de mon Appel, qui n’est autre que l’Appel de ton cœur à ta réunion et à ton union, à ton Éternité. Je n’ai besoin d’aucun mot ni d’aucune attitude car je vois ce que chacun de vous est, a été et sera, car je vois en chacun de vous mon Imitation, ou pas, votre disparition, ou pas, et rien ni personne ne pourra se tromper et y être trompé, car la Grâce de la Vérité prendra tout l’espace et tout le temps, venant vous réveiller de l’intérieur, venant vous montrer, au sein de cette reconnexion, la Vérité qui n’a ni début ni fin.

Enfants de l’un, dansons à nouveau la Danse du Silence dans l’espace de la beauté, maintenant.

… Silence…

Je suis la Voie, la Vérité et la Vie et tu es la Vie, la Vérité et la Voie car nous sommes Un. Le sens de toute séparation doit s’effacer, être brûlé dans l’indifférence et le Feu de l’Amour afin que ma demande d’amitié se pare de tous les atours de l’Amour.

En ces instants que vous vivez, où que vous soyez à la surface de ce monde, vous avez à montrer non pas la personne mais cherchez bien plutôt, en chaque circonstance, en chaque regard, et en chaque interaction entre vous le regard de l’Amour, le regard du cœur, faîtes taire les paroles et pensées qui nous éloignent l’un de l’autre, celles où il y a jugement, celles où il y a méfiance, celles où il y a peur. Ne donnez pas de poids à ce qui est déjà pesant, accordez tout le poids à l’Éternité.

Je suis la Voie, la Vérité et la Vie, je vous offre mes bénédictions, je vous offre ce que vous êtes, par-delà tout le reste. Je vous dis : en l’Amour, je vous dis : en notre Amour. Aimons-nous. Je vous remercie de m’avoir accueilli, je vous remercie de m’avoir écouté, je vous remercie de m’avoir lu et je compte sur chacun de vous parce que chacun de vous est l’Unique et l’Aimé de l’Un.

Je suis le Christ et je vous bénis en votre nom, en mon nom et au nom de mon amitié comme de votre amitié, si vous le voulez bien, et ensemble je vous dis non pas prions mais demeurons dans l’éclatante Lumière de la Vérité, maintenant et à jamais. Il est temps maintenant, non pas de me retirer, mais de me retirer en vous, là où se trouve votre beauté, répondant à chaque sollicitation, à chaque pensée ; à chaque fois que l’Amour est mis devant, je serai là et vous verrez par mes yeux, et vous sentirez par ma chair, et vous vivrez en mon Esprit qui est le vôtre. Encore une fois, je vous aime et vous en êtes digne et bien plus que cela. En l’Amour de l’Amour et en notre amitié, je me retire en vous maintenant.

Ceci est mon verbe, inscrit à la fin des Carnets de février et je répondrai, en mon nom, aux questions que vous poserez, pour la fin de ce Carnet.

Et voilà que je viens.

Source : http://www.lecollectifdelun.com

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